Le manque d’informations des utilisateurs de la montre Fitbit Alta ne leur permet pas de maîtriser leurs données tout au long de l’utilisation de l’objet, et peut par conséquent entraîner des risques sur leur vie privée.
Ces risques peuvent s’avérer d’autant plus élevés du fait que l’application communique des données personnelles, certes de manière chiffrée, mais vers des serveurs distants tous situés aux États-Unis. Toutefois, la politique de confidentialité prévoit des transferts de données en dehors de l’Union européenne et précise que la société Fitbit adhère au Privacy Shield, mécanisme reconnu par la Commission européenne comme offrant un niveau de protection adéquat.